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Pascal Pignard, rappelait l'importance, d'une plate-forme multi-modale (train+métro) qui devrait prendre place Niel, afin de relier directement la ligne D (Muret, Portet) à la ligne B (Borderouge-Ramonville). Un projet « dont la possibilité a été préservée » comme l'a rappelé le maire de Toulouse, mais dont le financement reste à trouver et le principe à décider. (Article paru le 03/11/2004)


Le métro à Labège-Innopole :

Projet depuis longtemps défendu par le Sicoval, le prolongement de la ligne B du métro toulousain jusqu'à Labège-Innopole a été officiellement annoncé par Tisséo-SMTC : d'ici 2012 ou 2013, une liaison entre le nouveau terminus du métro à Ramonville-Saint-Agne (ouverture prévue en 2007) et la gare SNCF de Labège-Innopole sera aménagée.


Elle nécessitera la construction de 5 km de métro aérien (pour franchir le Canal du Midi et l'autoroute A61) et de 4 stations, pour un montant de 330 millions d'€.

Le projet défendu par le Sicoval consiste à prolonger cette ligne jusqu'à Labège-Innopole et à établir une liaison avec le chemin de fer en créant le terminus au niveau de la gare de Labège-Innopole, déplacée un kilomètre plus au sud derrière le centre de congrès Diagora.( 20 Janvier 2006 )


L'étude du prolongement au nord intéresse les habitants.

Permettre à tout le monde d'aller partout dans Toulouse grâce à une meilleure desserte, voila ce que réclament les habitants du Grand Toulouse. Tisséo a donc décidé de mettre à l'étude le projet de prolongement de la ligne B vers L'Union, au delà du terminus de Borderouge, suite à la requête des maires du secteur. "Il ne s'agit pas d'une initiative isolée, 15 maires se sont associés pour demander le prolongement de la ligne B du métro", affirme le maire de L'Union, Georges Beyney. "L'initiative vient des communes de L'Union et de Launaguet mais 13 autres communes du secteur" soutiennent la demande. Mais alors que les pré-études du projet de prolongement vers Labège ont été réalisées et qu'une échéance soit connue : 2012, le projet de prolongement vers L'Union n'en est pour le moment qu'à la simple "étude de faisabilité".

"Le président [de Tisséo, Jean-Luc] Moudenc a été sollicité par les maires des communes périphériques pour étudier un éventuel prolongement", reprend Sébastien Clermont, directeur de cabinet de Jean-Luc Moudenc. Il s'agit d'étudier en premier "l'induction", c'est à dire "le nombre de personnes concernées, susceptibles d'utiliser le métro", afin de "justifier" les travaux. Dans un deuxième temps, les "tracés possibles" du prolongement de la ligne B seront étudiés. Jean-Luc Moudenc a donné un avis favorable à la conduite de l'étude et son directeur de cabinet acquiesce : "on prolonge au sud, alors pourquoi pas prolonger au nord". Le maire de L'Union se dit "très optimiste" sur les résultats de l'étude, estimant que la commune possède "un très grand potentiel". Avec les autres maires du secteur, il verrait bien "un métro aérien de préférence", avec un arrêt "dans la plaine de Launaguet qui jouxte L'Union". Mais il attend les résultats de l'étude pour se faire une idée des possibilités et des coûts du projet. De toute façon, le prolongement de la ligne B vers L'Union est "judicieux" selon lui, puisqu'il servira à "un nombre important de personnes".De plus, comme partout ailleurs, le métro permettra de "diminuer le nombre de voitures dans Toulouse". (Article paru le 19/04/2007)


Labège attend maintenant le prolongement de la ligne B.

Tous des usagers en transit, et donc gros consommateurs de transports en commun, puisque l'Innpole est une zone d'activité et qui offre très peu de possibilité de logement.
Si la décision de créer la ligne B est déjà vieille de 14 ans, l'annonce de son prolongement remonte à janvier 2006, annonce faite par Jean-Luc Moudenc lors des vœux de Tisséo à Diagora. En dix-huit mois, le dossier a avancé… mais en tenant compte du temps administratif. Il aura fallu, par exemple, plus de six mois pour lancer les appels d'offre afin de trouver le maître d'ouvrage. C'est la Smat qui sera chargée de réaliser ce prolongement. On sait aujourd'hui que l'Innopole sera desservie par quatre stations, une au sein du Parc technologique du Canal à Ramonville, une devant le supermarché Carrefour, une autre entre Diagora et le cinéma Gaumont le terminal débouchant sur une gare multimodale qui fera se côtoyer, tout près du lycée Cadène, une gare SNCF, une gare routière pour drainer les lignes de bus et bien sûr un parking de 1 100 places pour endiguer le flux automobile.

Autre choix important déjà validé, celui du tracé qui sera souterrain au départ de Buchens et deviendra rapidement aérien pour franchir l'autoroute et irriguer l'Innopole. Le choix du tracé aérien est rendu possible par des réserves foncières que le Sicoval a déjà réalisées et s'avère surtout plus rapide à réaliser et moins cher. D'autant que le design des lignes aériennes du Val a fait beaucoup de progrès et s'intégrera sans problème dans l'architecture moderne de l'Innopole. (Article paru le 27/06/2007)







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